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Posted by: مسعود عمشوش | on أكتوبر 15, 2015
je reviens pour vous raconter ce qui se passe a aden
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Posted by: مسعود عمشوش | on نوفمبر 7, 2013
Chateaubriand
François-René de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l’un des précurseurs du romantisme français et un des grands noms de la littérature française en général.
Destiné à la carrière de marin (son père était armateur), Francois-Rene Chateaubriand y renonça et, en 1789, assista aux premiers bouleversements de la Révolution française. En 1791, Chateaubriand part pour l’Amérique, continent dont il fera de nombreuses descriptions dans les Mémoires d’Outre-Tombe. En 1800, il rentre en France et fait publier l’année suivante Atala. 1802 est l’année de publication du Génie du christianisme qui marque son ralliement provisoire à Bonaparte, œuvre qui est aussi un plaidoyer en faveur de la religion et qui est composée d’Atala et de René.
La carrière politique
Chateaubriand commence alors une carrière politique : il est d’abord nommé secrétaire d’ambassade à Rome et un voyage en Orient lui inspire Les Martyrs (1809) et L’Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811). Dès 1811, Chateaubriand met en chantier les Mémoires d’Outre-Tombe dont la rédaction prendra trente ans. La même année, il est élu à l’Académie française. Ministre de l’Intérieur de Louis XVIII sous la Restauration, Chateaubriand devient Pair de France après l’exil définitif de Napoléon. En 1816, la publication de sa Monarchie selon la Charte cause sa révocation. De 1822 à 1824, il est ministre des Affaires étrangères, et sera invité à démissionner pour avoir critiqué la politique du gouvernement. Après la mort de Louis XVIII, Charles X arrive au pouvoir et Chateaubriand devient ambassadeur à Rome. Au cours de la « Monarchie de Juillet », Chateaubriand est écarté du pouvoir en raison de son désaccord avec l’accession au trône de Louis-Philippe. Chateaubriand abandonne alors définitivement la politique.
Le mémorialiste
Chateaubriand se consacre désormais entièrement à l’écriture de ses Mémoires, œuvre qu’il achève en 1841. Il meurt en 1848.
Principales Œuvres de Chateaubriand
-Atala (1801)
Atala a d’abord été pensé comme étant une œuvre racontant le voyage de Chateaubriand en Amérique, mais elle a été ensuite remaniée pour servir d’« illustration » à un thème du Génie du christianisme. Cet ouvrage a connu un vif succès en raison de l’évocation de souvenirs de voyage, d’un certain exotisme et d’une tonalité pathétique.
René (1802) Comme Atala, René a servi d’illustration pour un chapitre du Génie du christianisme. Cette œuvre est considérée comme ayant apporté la gloire à son auteur.
Génie du christianisme (1802)Très affecté par la mort de sa mère et de l’une de ses sœurs, Chateaubriand est l’auteur de cette apologie de la religion chrétienne. L’ouvrage a été publié peu avant le Concordat. Cette œuvre a connu un grand succès à l’époque. Son but est de montrer le génie du christianisme à l’œuvre dans l’Histoire (contre la tradition philosophique). Cette œuvre a aussi été écrite pour soutenir la politique religieuse de Napoléon en 1802. (→ œuvre apologétique).
Mémoires d’outre-tombe (1848)Les Mémoires d’outre-tombe sont le récit des épisodes de la vie de Chateaubriand. Il y raconte ses voyages et sa vie politique. On y lit une certaine obsession de la fuite du temps, une mélancolie manifeste : précurseur des romantiques, Chateaubriand a conscience d’appartenir à une génération de « fin de siècle », connaissant l’écroulement d’une société fondée sur la monarchie. Les thèmes abordés sont nombreux : confrontation du destin de l’homme et de l’histoire du monde, « mal du siècle », prise de conscience de l’Histoire entre Ancien Régime et Nouveau Monde, et
Extrait d’Atala
(Comment exprimer cette foule de sensations fugitives que j’éprouvais dans mes promenades ? Les sons que rendent les passions dans le vide d’un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d’un désert ; on en jouit, mais on ne peut les peindre.
L’automne me surprit au milieu de ces incertitudes : j’entrai avec ravissement dans le mois des tempêtes. Tantôt j’aurais voulu être un de ces guerriers errant au milieu des vents, des nuages et des fantômes ; tantôt j’enviais jusqu’au sort du pâtre que je voyais réchauffer ses mains à l’humble feu de broussailles qu’il avait allumé au coin d’un bois. J’écoutais ses chants mélancoliques, qui me rappelaient que dans tout pays le chant naturel de l’homme est triste, lors même qu’il exprime le bonheur. Notre cœur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes, et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs.
Le jour, je m’égarais sur de grandes bruyères terminées par des forêts. Qu’il fallait peu de chose à ma rêverie ! une feuille séchée que le vent chassait devant moi, une cabane dont la fumée s’élevait dans la cime dépouillée des arbres, la mousse qui tremblait au souffle du Nord sur le tronc d’un chêne, une roche écartée, un étang désert où le jonc flétri murmurait ! Le clocher solitaire s’élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards ; souvent j’ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête. Je me figurais les bords ignorés, les climats lointains où ils se rendent ; j’aurais voulu être sur leurs ailes. Un secret instinct me tourmentait : je sentais que je n’étais moi-même qu’un voyageur, mais une voix du ciel semblait me dire : « Homme, la saison de ta migration n’est pas encore venue ; attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton cœur demande. »
« Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’une autre vie ! » Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté, et comme possédé par le démon de mon cœur.
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Posted by: مسعود عمشوش | on ديسمبر 21, 2012
جاكلين بيرن ودورها في البحث عن تاريخ جزيرة العرب وآثارها
بقلم د. مسعود عمشوش
منذ بداية عصر النهضة الأوروبية في القرن الخامس عشر، شرع الأوروبيون في السفر داخل القارة الأوروبية وخارجها. فاتجه جزء منهم غرباً صوب الأمريكتين، وفضّل بعضهم الإبحار في اتجاه الشرق، لاسيما إلى البلدان التي تطل على السواحل الجنوبية والشرقية للبحر الأبيض المتوسط، ومنهم من واصل السفر في اتجاه الشرق الأقصى، ومن بين هؤلاء من توقف في موانئ الجزيرة العربية، وحاول بعض المغامرين الدخول إليها لزيارة مدنها أو استكشاف صحاريها. Read More
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Posted by: مسعود عمشوش | on يوليو 15, 2012
بعد حياة مهنية لامعة في رسالة الطب ونشر عدد من المؤلفات في هذا المجال، أتى وقت الرواية الخيالية الجريئة. فبعد أن حظيت روايته الأولى -باللغة الإنجليزية- (الرحلة الأخيرة من صنعاء) نشر الدكتور الكندي المولود في عدن قيس غانم روايته الانجليزية الثانية “صَبيان من معهد عدن”، التي سلمني الأستاذ السوداني حسن محمد سعيد نسخة من ترجمة موجزة وعرضا لها يقعان في 25 صفحة، وسيقوم بتقديمها الأربعاء القادم في نادي المقة بصنعاء. Read More
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